Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
Avant de reprendre le chemin des plateaux télé, Laurence Ferrari a accordé un entretien au magazine TV Grandes chaines, où la journaliste parle de sa nouvelle aventure qui va démarrer pour elle sur i-Télé, mais revient également sur les rumeurs qui lui ont prêté, à plusieurs reprises, une liaison avec Nicolas Sarkozy.
C’est le livre de Renaud Revel, Les Amazones de la république, qui a remis le feu aux poudres. Le journaliste de l’Express y parle en effet des relations amoureuses qu’auraient entretenues des journalistes avec l’ancien chef de l’État.
« Certaines ont hérité d’un JT »
Parmi ces « amazones », on compte notamment Anne Fulda, qui raconte le temps passé avec Nicolas Sarkozy entre 2005 et 2006. Et la journaliste ne se prive pas, sans toutefois la nommer directement, de parler de celle qui l’a remplacée. « En restant dix-huit mois aux côtés de Nicolas Sarkozy, j’ai gagné un billet d’humeur dans les colonnes du Figaro, quand d’autres, qui l’ont fréquenté deux mois, ont hérité d’un JT ».
Une référence claire à Laurence Ferrari, à qui beaucoup ont effectivement prêté une liaison avec l’ancien président de la République.
« Cela ne m’atteint pas : j’ai appris à vivre avec »
Dans son interview publiée cette semaine dans le magazine TV Grandes chaînes, Laurence Ferrari revient sur cette supposée relation cachée, qui lui aurait valu de décrocher le siège du 20 heures de TF1. « C’est un mythe récurrent » dément-elle une nouvelle fois. « Les rumeurs font partie des côtés désagréables de la vie d’une personne publique. Mais cela ne m’atteint pas : j’ai appris à vivre avec ». De quoi définitivement clore le chapitre ?