Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
"Le contenu de cet article et l’intégralité des faits relatés relèvent d’allégations totalement mensongères. Madame Laeticia Hallyday n’a jamais contacté Mme Anne Gravoin afin que cette dernière intervienne d’une quelconque manière". Voici l’un des éléments de réponse apporté par un communiqué de Manuel Valls aux accusations récemment portées par l’Express. L’hebdomadaire a en effet affirmé que l’épouse de "l’idole des jeunes" avait appelé la femme du ministre de l’Intérieur pour solliciter son aide. Alors qu’Anne Gravoin collabore avec Johnny Hallyday en tant que musicienne, Laeticia lui aurait, toujours d’après l’Express, demandé de faire appel à son mari pour éviter la fermeture administrative de l’Amnesia, la boîte de nuit que possède son père, André Boudou, au Cap d’Agde (Hérault).
Manuel Valls va porté plainte contre l’ExpressDes propos qui n’ont pas manqué de susciter la colère de Manuel Valls."Compte tenu de la gravité des accusations et des insinuations contenues dans cet article, une action en diffamation sera engagée dans les tout prochains jours", a-t-il ainsi prévenu dans son communiqué avant de préciser : "Anne Gravoin n’a jamais demandé la moindre intervention à son mari". Et d’ajouter comme pour mettre un terme à toutes les rumeurs : "En outre, le ministre de l’Intérieur a une trop haute conception de la mission qui lui a été confiée au service de la République pour envisager, un seul instant, d’intervenir de manière arbitraire sur une décision administrative".
"L’écho de rumeurs dénuées de fondement"Et alors que l’Express a indiqué que cette menace de fermeture administrative serait le résultat d’une bagarre ayant opposé l’un des videurs de la boîte de nuit à un client, Manuel Valls n'as pas démenti l’altercation mais a souligné que "seule le vigile est donc susceptible d’être poursuivi" et que "jamais aucune fermeture administrative de l’établissement n’a été envisagée par les services de préfecture". Le ministre a par ailleurs conclu son communiqué en dénonçant "un article (qui) se fait l’écho de rumeurs dénuées de tout fondement (…) qu’une enquête journalistique sérieuse aurait rapidement pu dissiper".