De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Valérie Trierweller a exigé 40.000 euros de dommages et intérêts. La Première dame de France a en effet poursuivi en justice deux journalistes suite à la publication d'une biographie la concernant et intitulée "La Frondeuse". Le procès débute ce mercredi au tribunal de grande instance de Paris. Les auteurs du livre, Alix Bouilhaguet, grand reporter politique à France 2, et Christophe Jakubyszyn, chef du service politique de TF1-LCI, devraient être présents à l'audience. Si la partenaire de François Hollande a déposé plainte pour "atteinte à la vie privée", son conseiller a d’ores et déjà annoncé que "le volet "diffamation" fera l'objet "d'une procédure distincte dont le calendrier sera fixé ultérieurement par le tribunal"", rapporte Le Figaro.
Le petit mot de François Hollande aux juges
Le président de la République, également compagnon de la plaignante, a fait irruption à titre privé dans l’affaire. En effet, il a adressé un courrier aux juges pour contester certains passages de l’ouvrage. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, a lui fait de même. L’anecdote veut que le courrier adressé par le ministre porte l’entête du ministère de l'intérieur. La droite a, quant à elle, dénoncé "un mélange des genres".
Elle réfute sa liaison présumée ave Patrick Devidjan
Valérie Trierweller réfute, entre autres, la liaison qui lui a été prêtée dans La Frondeuse avec Patrick Devidjan. Le député UMP a lui aussi assigné les "éditions du moment" et réclame 100.000 euros de dommages et interêts.