De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"Il n’y aura pas d’officialisation. Y compris pour le second quinquennat, il n’y a pas de raison", a prévenu François Hollande au cours de ses entretiens avec Gérard Davet et Fabrice Lhomme et ce, même si Julie Gayet "souffre de la situation" car "elle est demandeuse de le faire". Dans Un président ne devrait pas dire ça, le chef de l’Etat a ainsi non seulement fait l’aveu de la relation qu’on lui prête depuis plus de deux ans avec la comédienne mais aussi reconnu que celle-ci n’était pas pleinement satisfaite de la tournure qu’elle prenait.
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Pas d’officialisation ni d’évènements en commun
En effet, depuis la parution du fameux numéro de Closer en janvier 2014, ni François Hollande ni Julie Gayet n’ont jamais confirmé ni infirmé l’idylle qu’on leur prête, tentant ainsi de la garder secrète. Et si au fils de mois, la comédienne s’est permis quelques "écarts" en dévoilant notamment des détails de leur quotidien ou en se présentant comme la "fiancée" du président, jamais ils n’ont été publiquement vus ensemble. En plus de l’officialisation, le politique refuserait à l’artiste qu’ils s’affichent côte à côte. Et cette situation commencerait à lui peser.
Le weekend dernier en serait le parfait exemple, rapporte Closer qui croit savoir que Julie Gayet a été "frustrée". En effet, et toujours selon les informations du magazine, le locataire de l’Elysée se trouvait à Nice à l’occasion de la journée de commémorations des victimes de l’attentat du 14 juillet, tandis que l’actrice s’y trouvait elle aussi dans le cadre d’une manifestation pour Octobre rose, le mois de la sensibilisation contre le cancer du sein. Et pourtant, ils ne se sont pas rejoints. En tous cas, pas publiquement. Et c’est justement là que le bât blesse. "Julie Gayet aimerait assister aux meetings, mais François Hollande refuse de s’engager. Il a été traumatisé par Valérie Trierweiler", écrit Closer qui reprend une phrase prononcée par la rédactrice de Paris Match lors d’un entretien à Public Sénat.
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