Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
TV Magazine que l’homme s’est confié. Il est l’administrateur légal des biens de Jean-Luc Delarue. Il faut dire que l'homme public possédait un patrimoine conséquent et on comprend très vite les tenants de cette querelle. Jean-Luc Delarue aurait été à la tête d’une fortune d’environ 30 millions d’euros.
C’est àElle oppose Anissa Khelifi (sa dernière femme) et Arnaud Gachy au père, Jean-Claude Delarue, et à la première femme de l’animateur, Elisabeth Bost. Ces deux derniers qui n’hériteront pas, affirment que l’homme a été influencé par son entourage et n’acceptent pas cette décision.
Jean-Claude Delarue perpétue des scandales à répétitions dans la presse. Le dernier évènement choc de la saga Delarue fut le cambriolage le 14 février dernier de l’appartement d’Anissa Khelifi, dans lequel de nombreuses œuvres d’art de Jean-Luc Delarue lui ont été dérobées. Elle dit avoir subit des menaces depuis le début de la polémique.
"Les déclarations de Jean-Claude sont mensongères"
Arnaud Gachy lassé des déclarations de Jean-Claude Delarue tient à clarifier les choses. Il réfute les accusations du clan père/ex-femme : Jean-Luc Delarue était lucide et non manipulé, il a vu ses proches jusqu’à la fin, personne ne l’a empêché de voir son père et les informations concernant les funérailles lui ont très bien été communiquées.
Très contrarié, l’homme déclare dans TV Magazine : "Tous ces articles sont indécents et les déclarations de Jean-Claude sont mensongères ! Elles jettent systématiquement le trouble sans la moindre preuve et ne font qu’empêcher chacun de faire son deuil dignement." Il ajoute : "Elles portent surtout atteinte à la mémoire de Jean-Luc Delarue ainsi qu’aux personnes visées dans ces déclarations." D'après lui, tout ce vacarme dans la presse empêchera de mener à bien la succession de l'animateur, ce qui finalement n'est pas dans l'intérêt de tout le monde.
© Jean Guy Python / Abaca Press