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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Suite à l'arrestation de Reda Kriket le 24 mars, qui est accusé d'avoir projeté un attentat en France, les internautes et spectateurs ont pu découvrir dans les médias deux photos diffusées du suspect interpellé, l'une en couleur et l'autre en noir et blanc. Mais le cliché en couleur n'est pas une photo de Reda Kriket. Sa diffusion serait due à une erreur de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), selon le Petit Journal, jeudi.
Mais comment une telle faute a-t-elle pu être commise ? "Il y a plus d'un an, un jeune homme originaire de Courbevoie (comme Reda Kriket) se fait interpeller pour des faits de faible gravité. Aux policiers, il déclare s'appeler... Reda Kriket. Il est photographié et inscrit sous ce nom dans le fichier TAJ (Traitement d'antécédents judiciaires, ex-Fichier Ariane)", précise l'Obs, qui a également enquêté. Pourtant, ce n'est pas lui.
Le site d'information Metronews minimise toutefois l'erreur des autorités. La première photo, fausse, aurait rapidement été écartée, mais celle-ci aurait été entre-temps transmise "via des 'fuites' de fonctionnaires de police, comme cela est régulièrement le cas pour ce type d’avis de recherche transmis en interne", précise le média. Ce qui signifie de surcroit que ce n'est pas le ministère de l’Intérieur qui est en cause, comme le laissait entendre le Petit Journal.
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Reda Kriket a été arrêté jeudi 24 mars en région parisienne pour un projet d'attentat "imminent" en France mais nie être impliqué dans toute organisation terroriste.
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