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Dans le secteur de l’énergie, plusieurs syndicats ont annoncé une grève de 48 heures portant sur les journées des 26 et 27 janvier. Cette stratégie entre dans la dynamique de l’appel de l’intersyndicale à maintenir la pression sur le gouvernement jusqu’au prochain "jour noir" de mobilisation interprofessionnelle contre la réforme des retraites, prévu pour le 31 janvier. Fabrice Coudour, secrétaire national à FNME-CGT s’est confié à Reuters au sujet de l’impact potentiel de ces deux journées de mobilisation, comme le rapportent nos confrères du Midi Libre.
Selon lui, l’intention serait de mener des actions de grève positives. Notamment, la gratuité, le rétablissement du courant, ou encore un abaissement des tarifs. Pourtant, il y a peu de chances que de telles actions positives pour les consommateurs et pour le moins gênantes pour les entreprises ne voient le jour. En effet, la situation est similaire à celle de la RATP, par exemple. La législation française rend très difficile la mise en place de ce type d’action.
Grèves dans le secteur de l’électricité : des coupures envisagées
Le secrétaire de la FNME-CGT a prévenu du fait qu’il y aurait certainement des baisses de tension. Pour ce qui est de véritables coupures, rien n’est moins sûr. Fabrice Coudour dit ne pas penser en arriver là, mais ne se voyait pas dans la position d’exclure totalement cette possibilité. Si d’aventure nous devions subir des coupures, elles seraient dans tous les cas d’une envergure restreinte et pour le moins ciblées.
Le secteur de la maintenance nucléaire envisage également de se mettre en grève pour protester contre la réforme, mais rien n’est acté pour le moment. Pour ce qui est du secteur pétrolier, il y a plus de certitudes : une grève de 48 heures se tiendra également les 26 et 27 janvier.