De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
i-Télé l’interrogeait à ce sujet. "En tout cas, ce sondage, c’est l’expression de l’exaspération des Français, le sentiment que le grand banditisme peut utiliser des armes de guerre", a ensuite estimé celle qui briguait l’Elysée en 2007.
Les violences à Marseille font actuellement l’objet d’âpres débats quant aux moyens de les enrayer. Et si un sondage Yougov a récemment montré que plus de la moitié des Français (57%) seraient d’accord pour que le gouvernement envoie l’armée pour combattre la violence qui règne dans la cité phocéenne, Ségolène Royal s’est elle aussi rangée de cette avis. "Pourquoi pas", a en effet répondu la présidente de la région Poitou-Charentes alors qu’un journaliste d'Rappelant que "c’est le rôle de la police" de veiller au maintien de l’ordre à Marseille, l’ex-compagne du chef de l’Etat a poursuivi en lançant : "mais puisqu’il y a des armes de guerre qui sont disséminées pourquoi ne pas imaginer une coopération entre la police et l’armée pour saisir et détruire ces armes de guerre ?".
Une "poussée passagère" de la violence pour 10% des sondésLe sondage Yougov a par ailleurs révélé que 76% des sondés estiment que les évènements qui ont eu lieu dans la cité phocéenne au cours de ces dernières semaines sont le signe d’une "aggravation durable de la situation". Pour 10% des personnes interrogées, il s’agirait cependant d’une "poussée passagère". Un quart des sondés se sont par ailleurs déclarés "plutôt opposés" à une intervention de l’armée.