De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
L’enquête va-t-elle prendre un tournant ? Un mois après sa disparition, Delphine Jubillar n’a toujours pas été retrouvée et l’enquête piétine, malgré les nombreux moyens déployés par les enquêteurs. Sans corps, sans scène de crime et sans indice probant, difficile pour les gendarmes du Tarn de savoir ce qui est réellement arrivé à cette infirmière de 33 ans une semaine avant Noël. Pourquoi a-t-elle quitté sa maison de Cagnac-les-Mines en pleine nuit ? L’a-t-elle fait de son plein gré ? A-t-elle rejoint une connaissance ?
Affaire Jubillar : qui connaissait son mot de passe ?
Les forces de l’ordre estiment que sa disparition est due à l’intervention d’un tiers et qu’elle ne serait donc pas volontaire. Plusieurs pistes sont donc suivies en ce sens, mais un nouveau rebondissement pourrait élargir les théories des enquêteurs. Selon les informations de BFMTV, le compte Facebook de Delphine Jubillar a été activé le soir du mercredi 13 janvier par une personne encore non identifiée. Un message "vide" a été posté sur un groupe auquel appartient la jeune femme, puis a été supprimé quelques minutes plus tard.
Informés par les proches de Delphine Jubillar, les gendarmes de la section de recherches de Toulouse seraient en train de remonter la piste de ce mystérieux message. Un des amis de la jeune femme a-t-il accès à son compte ? S’agit-il de son mari ? Selon les informations de BFMTV, ce dernier ne connaît pas son mot de passe, tout comme ses amis. L’enquête doit désormais déterminer s’il s’agit d’un piratage ou d’une connexion réelle de la jeune femme. Interrogé par Le Parisien, l’avocat des parties civiles confie : "Ca serait une façon somme toute assez élégante de faire savoir qu’elle existe encore sur cette planète".