Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Des fêtes de fin d'année sous haute tension. À quatre jours du Réveillon de Noël, la joie de se retrouver en famille se mêle à l'inquiétude de la contamination, car les chiffres liés au Covid-19 ont rarement été aussi hauts. Selon les dernières données de Santé Publique France, 48 473 nouveaux cas ont été enregistrés dimanche 19 décembre et le taux d'incidence national s'élève à 530 pour 100 000 habitants. Le taux de positivité des tests est de 6,8% et le taux de reproduction du virus est de 1,2, ce qui signifie qu'une personne positive en contamine plus d'une autre. L'épidémie continue donc de circuler.
Couvre-feu fin décembre ? La recommandation du Conseil scientifique
Au 15 décembre, sur les sept jours d'avant, 7 282 personnes avait été hospitalisées et 1 686 avaient été admises en soins critiques. Durant cette même période, 899 malades du Covid-19 sont décédés, portant à 121 493 le nombre de morts depuis le début de l'épidémie en France. En ce qui concerne la vaccination, 52 431 083 personnes ont reçu au moins une injection, ce qui représente 78,1% de la population française. En tout, 76,5% ont un schéma vaccinal complet.
Jean Castex a pris la parole vendredi 18 décembre à l'issue d'un nouveau Conseil de défense sanitaire. De nouvelles mesures ont été annoncées, notamment un projet de loi voulant transformer le pass sanitaire en pass vaccinal dès le début de l'année 2022. Le Premier ministre a rappelé l'importance des gestes barrières durant les réunions de famille à Noël et demandé aux Français de se faire tester avant de retrouver leurs proches. Cela sera-t-il suffisant ? Le Conseil scientifique ne le pense pas et émet de nouvelles recommandations pour la fin du mois de décembre. Limitation des activités, mise en place d'un couvre-feu... Voici ce qui est envisagé par cette instance qui conseille le gouvernement. Et la réponse sans appel d'Olivier Véran à ces recommandations.