Chaque fin d’année, Google dévoile son classement des dernières tendances de recherche en France et dans le monde. Tour d'horizon des sujets qui ont marqué l’année 2024 en France.
Les chiffres ne mentent pas. En Nouvelle-Aquitaine, la "pression virale", c'est à dire la façon dont se propage le coronavirus Covid-19, semble se résorber explique 20 minutes.
Lundi 6 avril 2020, cela faisait déjà trois jours que le nombre de cas recensé au quotidien n'augmentait plus. L'Agence régionale de santé (ARS) évoque donc "un plateau qu'un pic".
En tout et pour tout, les autorités compétentes en la matière recensent 120 décès en Nouvelle-Aquitaine depuis que l'épidémie à frappé l'Hexagone. La région est, de facto, l'une des moins touchée du pays. Les données hospitalières remontées à Santé publique France font état de 2 426 cas confirmés au total.
Pour autant, affirme le Dr Daniel Habold, directeur de la santé publique à l'ARS, il n'y a pas encore lieu de penser à une chute du nombre de malades dans l'immédiat. "Ce plateau ne présage ni d'une augmentation, ni d'une diminution des cas", a-t-il détaillé.
La région Nouvelle-Aquitaine touchée moins durement que l'Île-de-France ?
Il n'y a pas qu'en Nouvelle-Aquitaine que le pic de l'épidémie est attendu pour cette semaine. A en croire un récent document dévoilé par l'Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP) et daté du 31 mars 2020, ce dernier aurait du survenir... le 6 avril de la même année, comme le rappelle L'Internaute, sur la base des informations du Parisien.
Dans le Grand-Est, en revanche, l'accalmie n'est pas pour tout de suite. C'est autre région qui compte parmi les plus meurtrie par le coronavirus, ne pense pas pouvoir annoncer de pic avant la deuxième moitié du mois.