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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
L’humoriste controversé est une nouvelle fois face à la justice. Le parquet de Paris vient d’ouvrir ce lundi une enquête contre Dieudonné pour "apologie du terrorisme".
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En cause, les propos polémiques de l’humoriste concernant l’attentat de Charlie Hebdo.
Dimanche, à l'issu de la marche républicaine, Dieudonné a en effet affirmé sur sa page Facebook se sentir "Charlie Coulibaly".
"Après cette marche historique (…) je rentre enfin chez moi. Sachez que ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly", a-t-il écrit associant le slogan "Je suis Charlie" au nom du djihadiste de la prise d’otages de la porte de Vincennes, Amédy Coulibaly.
"L’ennemi public numéro 1"
Des propos que le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a qualifié d’"abjection" et auxquels il promet des suites juridiques.
De son côté, Dieudonné a publié une lettre ouverte adressée au ministre de l'Intérieur dans lequel il condamne l’acharnement de l’Etat à le traiter "comme l’ennemi public numéro 1".
"Depuis un an, l’Etat m’a dans le viseur et cherche à m’éliminer par tous les moyens" déclare-t-il avant d’ajouter "A croire que mes propos ne vous (Bernard Cazeneuve, ndlr) intéressent que lorsque que vous pouvez les détourner pour mieux vous indigner".
Adepte de la provocation, Dieudonné essuie déjà plusieurs procédures judiciaires pour, entre autres, "incitation à la haine raciale".
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