Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Si les arnaques pullulent ces derniers temps, celles à la rénovation sont omniprésentes avec une augmentation conséquente des cas. Des entreprises malhonnêtes choisissent ainsi sciemment de profiter de situations parfois très complexes chez les particuliers pour leur proposer des offres alléchantes, transformées en cauchemar d’arnaques. Les installations de mauvaise qualité, non conformes, mais aussi les coûts cachés, sont, dès lors, réguliers. Voici les 8 règles d’or pour éviter le pire.
Arnaques à la rénovation : un chiffre en augmentation
Depuis 2005, des artisans et entreprises RGE sont formés aux métiers de la rénovation, du photovoltaïque au bois énergie, par Qualit’EnR. Comme le rapportent nos collègues de Maison & Travaux, son président, André Joffre, a affirmé que cette hausse du secteur avait été la source de nouvelles arnaques. Il a ainsi précisé que tout était tenté pour les “combattre avec nos moyens, tout d’abord en vérifiant que les entreprises que nous choisissons sont éligibles selon les critères que l’on a définis”.
Arnaques à la rénovation : des vérifications fréquentes
Pour André Joffre, il importe ainsi de voir si les entreprises sont à jour de leurs charges et possèdent une identité officielle. Il est également requis d’avoir une assurance décennale, capable de protéger le client, mais aussi un suivi du cursus de formation et de l’examen Qualit’EnR (150 €). En dépit de ces précautions, quelques entreprises parviennent à passer à travers les mailles du filet pour piéger des particuliers dans le besoin. André Joffre se veut néanmoins rassurant en expliquant que ce chiffre ne représente “qu’1% des formés”.
Découvrez, ci-après, dans notre diaporama, les 8 règles pour éviter le pire.