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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Dans l’affaire de la disparition de Maëlys, 9 ans, la procureure, Dietlind Baudoin, a confirmé ce midi à une journaliste de LCI, la mise en garde à vue d’un deuxième homme. Comme le premier, il est âgé de 34 ans.
Citée par plusieurs médias, une source proche du dossier a expliqué qu’il allait lui aussi être questionné pour "vérifier des déclarations qui comportent des contradictions". D’après LCI, les deux hommes placés en garde à vue se connaissent et seraient même amis. Leurs déclarations seront confrontées.
Hier soir, les autorités ont annoncé qu’elles prolongeaient de 24 heures la garde à vue du premier homme. Plusieurs médias ont révélé ce matin qu’il était un proche du marié et qu’il connaissait le père de Maëlys. La procureure de Bourgoin a par ailleurs précisé dans un communiqué qu’ il s’était "absenté de la soirée [pendant] les créneaux horraires pouvant correspondre à la disparition". Son avocat assure qu’il était présent dans la soirée lorsque les invités du mariage ont commencé à se mobiliser pour retrouver la fillette.
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Maëlys a été aperçue pour la dernière fois aux alentours de trois heures matin dans la nuit de samedi à dimanche, alors qu’elle participait à un mariage à Pont-de-Beauvoisin en Isère.Les autorités ont annoncé que les recherches se poursuivaient ce matin, "avec un dispositif allégé et sur un périmètre élargi", précise Le Monde.
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