La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Les Français vont devoir travailler davantage à l’avenir. Emmanuel Macron, candidat à sa propre succession, répète ce même discours depuis 5 ans. "Parce que nous vivons plus longtemps, il nous faudra travailler plus longtemps et partir à la retraite plus tard", a-t-il déclaré le 12 juillet 2021, en précisant que "l’âge de départ doit être plus tardif".
À l’issue du premier confinement, en juin 2020, le chef de l’État l’avait déjà prévenu : "Nous ne pouvons pas être un pays qui veut son indépendance, la reconquête sociale, économique et environnementale, et être un des pays où on travaille le moins tout au long de la vie." C’est d’ailleurs désormais officiel, s’il est réélu en avril 2022, il entend repousser l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 65 ans !
Retraite : une "réforme de responsabilité" et "de justice"
Il s’agit d’"une réforme de responsabilité" et "de justice", a renchérit Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement. C’est selon lui, un "choix de société" qui sera proposé aux électeurs : "Est-ce qu’on veut encore pouvoir financer une protection pour les Français et investir pour les Français ? Nous, on dit oui. Est-ce qu’on pense qu’il faut le faire en augmentant les impôts ? Nous, on dit non. Et donc, il faut travailler plus", a-t-il lancé. Cette annonce n’est pas une surprise, puisque, lors de sa déclaration de candidature, le président de la République stipulait le 3 mars, dans sa lettre aux Français : "Il nous faudra travailler plus et poursuivre la baisse des impôts pesant sur le travail et la production." Le relèvement s’effectuera de manière graduelle, jusqu’en 2033. Et ce, à raison de quatre mois par année de naissance (62 ans et 4 mois pour la première génération concernée, 62 ans et 8 mois pour la seconde, etc.), rapporte Le Monde.
Détaillons dans le diaporama ci-dessous, les raisons qui poussent le gouvernement et certains candidats à la présidentielle 2022 à vouloir inciter les actifs à travailler davantage.