Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Elle s'appelle Margareta Magnusson, a 90 ans et a vécu dans le monde entier après sa naissance en Suède, à Göteborg. Artiste et auteure, notamment du best-seller La vie en ordre : l'art de ranger sa vie pour alléger celle des autres paru en 2018 chez Flammarion, elle est l'inventrice d'un concept à la fois proche mais à la finalité bien différente de celui de la Japonaise Marie Kondo.
Ce concept, nous apprend TF1 INFO, tiré du livre, s'appelle en français "le nettoyage suédois", le "döstädning" en version originale, ou le "death cleaning" dans la langue de Shakespeare. Il s'agit de faire le tri de tout ce qui est inutile dans la maison, en commençant par le garage et le grenier, et de s'en débarrasser avant de mourir. Soit de ranger et désencombrer son intérieur.
Pour une fin de vie harmonieuse... et soulager ses proches
L'idée est de ne conserver que ce qui a eu de l'importance un jour dans sa vie, pour ne plus avoir qu'à se concentrer sur ce qui est vraiment essentiel. D'après TF1 INFO, toujours, Margareta Magnusson affirme que "c'est aussi une manière de réduire le stress, de mettre fin au désordre, d'alléger sa charge mentale et de se libérer intérieurement." Avec aussi pour but de ne pas laisser la triste tradition du tri à ses proches après son décès.
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Une méthode à appliquer en se posant la question de la valeur sentimentale des objets, vêtements, meubles... S'ils n'en n'ont pas, il faut les jeter, en débutant par tout ce qui est volumineux. Faire le vide rend l'espace plus clair, plus zen.
Pour Margareta Magnusson, il est bon de commencer cette démarche à 65 ans pour organiser plus sereinement sa fin de vie. Mais elle peut être entreprise à tout âge. Attention là encore de ménager ses proches en les avertissant, au cas où ils souhaiteraient récupérer quelque chose qui leur tient à cœur.
Une manière aussi de lutter contre le syndrome de Diogène, trouble du comportement qui entraîne une accumulation compulsive et mène souvent les personnes âgées et seules à vivre dans l'insalubrité. Un phénomène qui inquiète de plus en plus la police, particulièrement à Paris.
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