Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
La retraite peut être un moment de la vie où l’on se réinvente, où l’on veut explorer des terrains insoupçonnés, ou qui paraissaient inaccessibles jusqu’alors. C’est probablement la raison qui a poussé plus d’1.1 million de retraités français à s’expatrier, selon Le Petit Journal. De nombreux pays proposent des visas spécifiquement conçus pour attirer cette population : ce sont les visas dits "non lucratifs" ou encore "relatifs au revenu passif".
Les Etats poussant à l’accueil de retraités étrangers le font car ces derniers représentent à priori un apport positif pour l’économie locale. En effet, ils sont poussés à la consommation et se rendent souvent dans des pays où le pouvoir d’achat qui leur est conféré par leur retraite est bien supérieur à ce qu’il serait en France. De plus, les conditions de ces visas sont conçues pour minimiser au maximum l’impact potentiel de ces retraités sur le secteur public de leur pays d’accueil, d’après expat.com.
Expatriation à la retraite : soleil et découverte culturelle
Malgré la distance avec les enfants et les petits-enfants, la peur de soins médicaux de potentiellement moins bonne qualité qu’en France, ils sont nombreux à partir. Pourquoi ? Outre un coût de la vie amoindri, un climat plus chaud et un environnement dépaysant sont les deux facteurs qui motivent les retraités à partir, d’après seniors.fr.
Quand on veut s’exiler pour un nouveau départ, quelles sont les modalités des différents visas proposés par les pays d’accueil potentiels ? Planet récapitule pour vous les conditions d’expatriation pour retraités dans 17 pays, selon expat.com.