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Invitée sur le plateau du "Grand Journal" jeudi soir, Valérie Trierweiler s'est confiée sur son rôle de Première dame. La compagne du président François Hollande a également évoqué le "pingouin" dont parle Carla Bruni-Sarkozy dans l'une de ses chansons.
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Valérie Trierweiler se dit "plus prudente". Près de dix mois après que François Hollande ait remporté l’élection présidentielle et qu’elle soit devenue la Première dame de France, Valérie Trierweiler s’est livrée sur son rôle. Affirmant avoir appris avec le temps, elle a ainsi expliqué être devenue "plus prudente" et avoir "petit à petit" acquis l’art et la manière de "supporter" les rumeurs. Au micro de Canal +, la compagne du chef de l’Etat a poursuivi : "Après, c’est vrai qu’il y a des rumeurs nouvelles tous les jours. Si on lit tout ce qu’il y a sur le net, tous les jours le président et moi nous nous séparons. Il paraît que j’ai un fils en prison au Canada… Vous voyez… J’ai… aucun de mes fils en prison, aucun n’est même allé au Canada".

Et si Valérie Trierweiler a reconnu avoir un temps été affectée par les ragots : "c’est vrai qu’au début tout ça, ça touche", elle s’en empressée d’ajouter : "et puis on apprend, … pas tout à fait à en rigoler mais à vivre avec (…) On apprend surtout à ne plus regarder. J’ai remplacé la lecture des journaux par le sport et je vais beaucoup mieux".


Carla Bruni-Sarkozy, "moi je la crois"

Alors que l’une des chansons issues du dernier album de Carla Bruni-Sarkozy évoquant un pingouin qui se prend pour châtelain serait, selon certains observateurs, une manière déguisée de régler ses comptes avec François Hollande, Valérie Trierweiler a assuré :"Elle (Carla Bruni-Sarkozy) dit elle-même que non. Pourquoi ne pas la croire. Moi je la crois".

Regardant les images de la cérémonie de passation de pouvoir au cours de laquelle le président récemment élu n’a pas raccompagné les époux Sarkozy jusqu’à leur voiture, la Première dame a par ailleurs lâché : "Est-ce que ça s’est mal passé ? Regardez ! On s’embrasse !". Et d’ajouter pour justifier ce qui a été considéré comme un manque de correction : "Il y avait un programme très chargé".

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