De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Il enfonce le couteau dans la plaie. Les élections législatives de l’an dernier ont été une rude épreuve pour Ségolène Royal. Battue par son rival, Olivier Falorni, la présidente de la région Poitou-Charentes a en effet également dû faire face à l’affaire dite du Tweet. Valérie Trierweiler, la compagne du président Hollande avait alors posté un message sur le réseau social pour vanter les mérites de l’actuel député de La Rochelle. Une pique qui n’avait pas manqué d’affecter Ségolène Royal et de semer la zizanie au sein du Parti Socialiste.
"Des larmes de crocodiles"
Plus d’un an après ses élections, Olivier Falorni a visiblement décidé de s’attaquer à nouveau à celle qui briguait l’Elysée en 2007. "Quand je suis arrivé à l’Assemblée (…) un paquet de collègues m’ont dit bravo, tu as bien fait (de gagner). En fait, ils étaient très contents de ne pas avoir à voter pour elle lors de l’élection du président de l’Assemblée", a-t-il en effet commencé par raconter au Parisien avant d’ajouter : "Et pour les quelques dirigeants de l’appareil PS qui l’ont pleurée, c’était des larmes de crocodiles".
Et si Olivier Falorni n’a pas été convié aux Universités d’été du PS à La Rochelle (du 23 au 25 août) , Ségolène Royal peut toutefois se consoler de ses attaques en se rappelant qu’elle y a été invitée et qu’elle y sera même l’une des vedettes.