La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Stéphane Sieczkowski-Samier : d’où lui vient ce surnom atypique ?
Il s’appelle Stéphane Sieczkowski-Samier. Mais il est souvent surnommé "Petit Sarko" ou "SarkoBoy", révèle L’Express. Et il vient d'être placé en garde à vue dans le cadre d'une enquête pour "détournement de fonds publics". Le plus jeune maire de France, âgé de seulement 26 ans, a été retenu mercredi matin à partir de 9h dans les locaux de la gendarmerie de la commune de Portel (Pas-de-Calais, Hauts-de-France) avec sa mère.
Elu en 2014 dans la commune de Hesdin (Pas-de-Calais), une commune de 2200 habitants, Stéphane Sieczkowski-Samier est soupçonné d'avoir acheter des marchandises pendant son mandat à des fins personnelles, à l'aide de l'argent communal.
Interrogé par France 3, l’avocat de l’élu de 26 ans, Me Krych, a déclaré que son client est entendu à propos "d’achats de marchandise" couvrant "une période pendant le mandat, depuis l’élection à ce jour". "La question c’est de savoir si ces marchandises ont une destination pour la commune ou à des fins personnels", explique-t-il.
Stéphane Sieczkowski-Samier : il n’en n’est pas à sa première mise en examen
Ce n’est pas la première fois que "Petit Sarko" a affaire à la justice. , Stéphane Sieczkowski-Samier a déjà été impliqué dans deux nombreuses affaires, que Le Figaro a pris soins d'énumérer .
Parmi elles, une citation d’Hitler dans son discours pour le 70 e anniversaire de la Libération, qu’il avait trouvé "très belle". Il a également été surpris en train conduire en excès de vitesse, et sans casque, un quad sur lequel se trouvait également Maëva Coucke, Miss France 2018. Résultat des courses : retrait immédiat de son permis de conduire. Il est aussi visé par une enquête pour "acquisition d'armes de troisième catégorie".
L’édile d’Hesdin est aussi privé d’élection pendant trois ans depuis 2018. La raison ? Le Conseil Constitutionnel a rejeté ses comptes de campagne lors des législatives de 2017.