Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
Dimanche soir, et comme l'annonçait tous les sondages, François Fillon a bien été le troisième homme de cette élection présidentielle. Avec 19,91 % des voix, le candidat de la droite est arrivé derrière Emmanuel Macron (23,75 %) et Marine Le Pen (21,54%).
Sitôt l'annonce des résultats, les ténors de la droite n'ont pas manqué de fustiger leur candidat, qui restera dans l'histoire comme le premier candidat de la droite à ne pas accéder au second tour d'une élection présidentielle sous la Ve République. Éric Woerth a estimé que ce n'était "pas la droite qui (avait) perdu, c'est Fillon". Pour Jean-François Copé, la droite est "en train de vivre son 21-avril" et Rachida Dati y voit une "défaite morale, historique de la droite". "La droite remercie vivement François Fillon de nous avoir coulés", a accusé de son côté le député européen Renaud Muselier sur Twitter.
Quant à Alain Juppé, il a listé les deux choses qui n'ont pas permis à François Fillon d'accéder au second tour. "L a première, et il l'a lui-même reconnue, c'est évidemment la personnalité de notre candidat, je m'étais exprimé à ce sujet il y a quelques semaines, et la deuxième c'est aussi la ligne politique", a-t-il expliqué à BFMtv.
François Fillon pas assuré d'un fauteuil au Sénat
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Malgré toutes ces attaques, et son score insuffisant, François Fillon n'a pas annoncé son retrait de la vie politique dimanche soir. Toutefois, son avenir au sein des Républicains semble difficile. Au lendemain du premier tour, un bureau politique (sans François Fillon) a eu lieu au sein des Républicains pour tenter de trouver une sortie de crise au parti.
Laurent Neumann, éditorialiste politique de BFMtv, a expliqué lundi : "Il est très peu probable qu'il obtienne une circonscription aux législatives. On se demande même, chez Les Républicains, si on lui accordera un siège aux sénatoriales. C'est vous dire que l'opération 'Débranchons Fillon' a sans doute commencé". Pour l es élections législatives. Eric Woerth, conseiller politique de François Fillon pendant la campagne, a exclu que ce dernier mène la bataille pour ce scrutin.
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