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Invitée sur RMC ce jeudi matin, Marine Le Pen a détaillé ce qu’elle ferait si elle était élue à la tête de la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie. "La première chose que je ferai, c'est porter plainte contre l'Etat. (...) Je vais pourrir la vie du gouvernement, a-t-elle assuré. Chaque jour de chaque semaine, chaque minute de chaque jour, ils entendront parler de moi et des habitants."
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La présidente du Front national a ensuite évoqué la situation des réfugiés dans le nord de la France. Elle a tout d’abord promis de porter plainte contre l’Etat sur le dossier des migrants puis a affirmé qu’elle supprimerait "toutes les subventions aux associations qui viennent en aide" à ces derniers. Accusant Natacha Bouchart, la maire Les Républicains de Calais, de délivrer "des laissez-passer pour les riverains", Marine Le Pen a également assuré qu’elle n’obligerait "aucun habitant français à devoir présenter un laissez-passer pour circuler" si était est élue. Une déclaration qui a rapidement été contestée par la maire de la ville sur Twitter. Celle-ci a par ailleurs annoncé son intention de porter plainte pour diffamation contre la présidente du Front national.
"Je serai candidate à la présidentielle quoi qu'il arrive"
Mais même en pleine campagne pour le second tour des élections régionales qui aura lieu dimanche, Marine Le Pen garde le sens des priorités. "Je serai candidate à la présidentielle quoi qu'il arrive", a-t-elle ainsi rappelé avant d’ajouter que les électeurs qui voteraient pour elle à la région le feraient également à la présidentielle.
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