De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
L’union fait la force. Alors que Ségolène Royal est à la Une de L’Express avec comme titre "L’emmerdeuse", Manuel Valls a rapidement pris la défense de sa ministre ce mercredi matin au micro de Jean-Jacques Bourdin. Le Premier ministre a ainsi regretté que ce soit une femme qui soit prise pour cible : "Je l'ai vue cette Une. Oui, ça me choque. Je ne suis pas sûr qu'on retrouverait cette même Une à l'égard d'un homme. D'un responsable public".
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"C'est dégradant"
Le chef du gouvernement a ensuite dénoncé cette Une et réaffirmé son soutien à Ségolène Royal. "C'est dégradant pour notre vie politique, et je veux dire combien j'apprécie la présence de Ségolène Royal à mes côtés", a ainsi déploré Manuel Valls.
En publiant cette Une, la rédaction de L’Express s'attendait à des réactions musclées de la part des membres du gouvernement et de la majorité. Le rédacteur en chef de l’hebdomadaire, Christophe Barbier a ainsi pris soin de justifier dans une vidéo (cf vidéo ci-dessous) le choix du titre –"L’emmerdeuse"-, lequel doit être considéré comme un compliment à l’égard de Ségolène Royal. "Ceci est un compliment, oui Ségolène Royal, l’emmerdeuse, est un compliment parce qu’elle empêche de tourner en rond tous ceux qui faisaient leurs petites affaires dans leur coin", s'est défendu l’homme à l’écharpe rouge.
"Ségolène Royal est un tigre dans le moteur du pouvoir (…) qui peut faire peur", explique l'éditorialiste qui loue son comportement face aux lobbys de l’énergie, ou encore les détracteurs de l’écotaxe.
Insulte ou compliment. C’est à vous de juger.
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