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Une fois encore, c’est Jean-Louis Debré qui a donné des nouvelles de Jacques Chirac. Alors que l’ancien président de la République se fait très discret depuis l’AVC qui l’a affaibli en 2005 et que son épouse veille à maintenir un certain flou autour de son état de santé, c’est finalement l’ancien président du Conseil constitutionnel qui évoque le plus fréquemment l’actuel quotidien de l’ex-chef d’Etat. "Je le vois régulièrement", a-t-il assuré lundi sur RTL. "Pour moi, l’amitié est quelque chose qui n’est pas lié à une fonction. Même, s’il est difficile aujourd’hui de communiquer avec lui…. Mais la fait d’être présent, de le voir, de venir troubler – entre guillemets – sa solitude, c’est ma façon d’être son ami", a-t-il également confié, avant d’ajouter : "Je lui dois tout. J’ai pour cet homme une affection et jusqu’au bout je l’accompagnerai". Des nouvelles peu rassurantes sur l’état de santé de Jacques Chirac qui a été hospitalisé à plusieurs reprises au cours de ces dernières années.
"Je vois qu’il souffre"
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Il n’avait d’ailleurs pas été informé tout de suite du décès de sa fille Laurence, survenu en avril dernier. Une décision prise par ses proches et motivée par deux raisons, expliquait alors Europe 1 : l’état de santé de l’ancien président de 83 ans, et aussi la relation très forte et particulière qu’il entretenait avec sa fille aînée. "Quand je le vois, il est heureux de me voir. Chirac n’a jamais été quelqu’un qui extériorise ses sentiments, mais moi qui le connais bien, quand je le regarde, je lis dans ses yeux, je vois qu’il souffre et je sais qu’il a de la peine", s’était même inquiété Jean-Louis Debré.
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