Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
2027 est loin, dites-vous ? En temps politique c’est un battement de cil. A 1 an et demi à peine de la réélection d’Emmanuel Macron, les regards se tournent vers L’Elysée, une nouvelle fois, et avec anxiété. Emmanuel Macron est encore président pendant plus de 3 ans ? Qu’importe, il arrivera alors au terme de ses deux quinquennat et ne pourra pas être réélu. “Funeste connerie”, grince l’intéressé, mais réalité quand même.
Alternative ou continuité
Alors la classe politique bruisse et s’interroge, se ramifie, s’invective et parlemente : qui pour proposer une alternative au président actuel, qui pour avancer un successeur. Mais la question demeure, qui ne sera tranchée qu’à l’aube de l'élection : sans Emmanuel Macron, Renaissance demeure-t-il un parti présidentiable, ou ne tient-il ses entrées à L’Elysée qu’au charisme de son créateur, qui a su se poser, assis entre deux chaises, en symbole de renouveau en 2017 ? Dans le doute, ennemis et amis du président se préparent à 2027 avec la même application : il y a là un coche à ne pas rater, celui de la fin d’une ère, et du début d’une forme d’incertitude, à n’en point douter.
Les noms en lice
Plusieurs noms s’entrechoquent dans la course de fond pour 2027 : certains sont clairement énoncés, d’autres conservent dans une hésitation feinte le secret de leur candidature. Tous dégainent les promesses d’un changement : plus de sécurité, plus de dialogue, plus de proximité… Planet vous propose un panel de ceux qui ont affiché, clairement ou non, leur volonté de succéder à Emmanuel Macron.