Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Après une longue traversée du désert, Dominique Strauss-Kahn semble prêt à revenir sur le devant de la scène. Relaxé dans l’affaire du Carlton de Lille où il était accusé de proxénétisme aggravé, l’ancien patron du FMI savoure aujourd’hui sa tranquillité. Mais loin de vouloir rester en retrait, DSK a décidé de marquer le coup en débarquant sur Twitter. "Hello Twitter, Jack is back", a-t-il ainsi écrit dimanche après-midi sur son compte à peine créé. Un tout premier message plutôt énigmatique accompagné d’une photo de profil en noir et blanc où il prend un air mystérieux. Un sentiment renforcé par la photo la photo de fond : un panoramique de l’Atlas marocain.
A lire aussi -Relaxé, DSK peut-il revenir en politique ?
Plus de 22 000 followers en seulement quelques heures !Depuis ce premier message, rien d’autre n’a été posté à part des éléments descriptifs mentionnant son parcours. "Successivement ministre des Finances de la France, directeur du Fonds monétaire international et conseiller en stratégie globale", peut-on ainsi lire en anglais. Et si DSK ne suit que très peu d’autres comptes – celui de Financial Times, de The Economist, de sa compagne Myriam L’Aouffir et de deux Nobel d’économies – il est en revanche suivi par des milliers de personnes (followers). Une heure après l’ouverture de son compte, il était en effet suivi par plus de 5 000 personnes. Au moment où nous écrivons ce papier, ils sont plus de 22 000.
A lire aussi -Qui est Myriam L'Aouffir, la nouvelle compagne de DSK ?Un succès qui s’explique en partie par le mystère cultivé autour de ce compte. Doit-on y voir un signe annonciateur ? DSK s’apprête-il à se lancer dans une nouvelle affaire ben France, au Maroc ou ailleurs ? Va-t-il l’annoncer sur Twitter ?
Vidéo sur le même thème - Dominique Strauss-Khann en compagnie de Myriam L’Aouffir au festival de Deauville