Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Les investigations portant sur l’affaire Bygmalion suivent leur cours. Et ce qui menaçait Nicolas Sarkozy vient de se réaliser. Mardi 9 décembre, le parquet de Paris a élargi l’enquête au délit de "financement illégal de campagne" alors que l’information judiciaire avait été ouverte pour faux et usage de faux, abus de confiance et tentative d’escroquerie. Confirmant une information de Libération, l’AFP cite une source judiciaire proche du dossier. Cela n’est pas sans conséquences pour Nicolas Sarkozy. En effet, si la procédure engagée démontre ce délit, le nouveau président de l’UMP pourrait alors être poursuivi.
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Dans le viseur de la justice, le système de fausses factures mis en place pour maquiller les comptes de campagne du candidat Nicolas Sarkozy en 2012 afin d’échapper au plafond de 22.5 millions autorisé. Dans cette enquête, sept personnes ont été mises en examen dont Eric Cesari, qui était surnommé rue Vaugirard "l’œil de Sarko".
Les enquêteurs cherchent à savoir qui était au courant de ce système frauduleux et surtout qui en était le commanditaire. Pour l’heure, Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy jurent n’avoir jamais été mis au courant de cette manœuvre.
Le montant de l’écart entre les sommes "réelles" et celles "déclarées" est estimé à 18.5 millions d’euros.
Affaire bygmalion : quatre personnes en garde à vue