De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
François Bayrou a réagi à la phrase désobligeante, rapporté par le Canard enchaîné, qu'aurait prononcé Nicolas Sarkozy : "Le bègue, je vais le crever".
Interrogé lors de l'émission Questions Info, sur LCP, le président du Modem a ironisé : "C'est une phrase d'une très grande élégance, sympathie, distinction et finesse et qui contribue à tirer vers le haut le débat politique français".
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Nicolas Sarkozy "ne supporte pas qu'on ait pas peur de lui et il se trouve que je n'ai pas, que je n'ai jamais eu et je crois qu'à vue humaine il n'y aura pas d'hypothèse où j'aurais peur de lui", a ajouté François Bayrou.
"Loin de moi l'idée que le Canard enchaîné puisse écrire des choses éloignées de la réalité (...) Ces phrases se multiplient", a-t-il conclu.
L'entourage de Nicolas Sarkozy dément
Contacté par le Lab d'Europe 1, l'entourage de Nicolas Sarkozy dément ces propos : "Il faudrait cesser de prendre pour argent comptant des citations du Canard enchaîné qui, par définition, est un journal satirique. Ne faut-il pas de temps en temps tirer des enseignements de cette course à l'échalote de petites phrases sorties de nulle part sans aucunes vérifications ?"
Les deux hommes politiques ne semblent pas prêts à se réconciller. Nicolas Sarkozy fait payer à François Bayrou son ralliement à François Hollande lors de l'élection présidentielle ainsi que son soutien à Alain Juppé pour la primaire du parti de droite.
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