Obligatoire depuis 2023, la déclaration des biens immobiliers pourrait devenir plus complexe pour les contribuables. En cause, un amendement du gouvernement au Budget 2025 adopté en première lecture jeudi 7...
Alain Juppé pose ses conditions. Une semaine après avoir rejeté en bloc l’option de remplacer François Fillon lors de la prochaine élection présidentielle, le maire de Bordeaux a finalement revue sa copie. Aujourd’hui, il examine en effet la possibilité d’incarner de candidat de la droite mais sous certaines conditions. Selon les informations du Figaro qui cite un de ses proches, "Juppé n’ira que s’il a consensus autour de lui". Battu à plates coutures à la primaire de novembre dernier, "il est prêt à affronter le risque d’une défaite à la présidentielle, mais il ne veut pas d’une confrontation avec Fillon. Ni d’une guerre avec d’autres prétendants".
Alain Juppé ne veut pas de guerre interne
En d’autres termes, Alain Juppé serait prêt à remplacer François Fillon à la condition que ce dernier soit pleinement d’accord et que l’ensemble des ténors du parti le soutiennent également. Toujours d’après Le Figaro, après une rencontre la semaine dernière, le plan A et son possible plan B ont prévu de se revoir très vite pour discuter de cette option. Mais alors que le Sarthois n’a toujours pas pris sa décision pour la course à l'Elysée, le quotidien précise qu’il ferait actuellement valoir le fait que "s’il s’en va, tout explose" au sein de leur famille politique. Plusieurs noms ont d’ailleurs déjà été évoqués pour lui succéder, illustrant des rivalités sous-jacentes.
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Alain Juppé aurait cependant déjà tout prévu. Tandis que le nom de François Baroin a souvent été cité ces derniers jours comme possible remplaçant de François Fillon, lui et son équipe lui aurait déjà trouvé une place de choix. "Nicolas Sarkozy le présentait comme son futur Premier ministre. Si Alain Juppé lui faisait la même proposition, ça désamorcerait une éventuelle fronde", a expliqué un intime du maire de Bordeaux.
Cependant, Alain Juppé est monté au créneau ce lundi matin pour dénoncer des "rumeurs infondées".
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