
Quatre mois après le verdict du procès des viols de Mazan, l’ancienne maison de Dominique et Gisèle Pelicot laisse une cicatrice dans le cœur des habitants due ce village du Vaucluse.
Connaissez-vous la différence entre l’assurance vie et l’assurance-décès ? Ces deux contrats peuvent se ressembler beaucoup, au moins vu de loin. Pourtant, en pratique, ils sont tout sauf interchangeables, alerte le magazine spécialisé Pleine-Vie sur son site. Et pour cause : chacun de ces produits répond à des objectifs très différents. Le premier, ainsi qu’à déjà pu l’expliquer Planet, constitue l’occasion de s’enrichir et de constituer un patrimoine… Tout en réfléchissant à la transmission potentielle de ce dernier. Ce n’est pas ce à quoi sert l’assurance-décès, insistent nos confrères.
“L'assurance décès est un contrat d'assurance. Vous payez des primes à un assureur qui s'engage à verser un capital à vos bénéficiaires au moment de votre décès”, explique en effet le site du service public.
Plusieurs différences importantes sont à noter, poursuivent les équipes de Bercy. Ainsi, dans l’essentiel des cas, “le souscripteur ne peut pas être le bénéficiaire”, ceci étant, ce dernier n’a pas besoin d’appartenir à la famille directe du souscripteur. Toutefois, nuance Pleine-Vie, il est possible d’être libéré de cette obligation si l’on survit à l’échéance du contrat. “Les primes encaissées lui restent acquises”, écrivent nos confrères à propos du souscripteur.
C’est là toute la différence - l’autre, en l'occurrence - qui importe : il n’est pas question, ici, d’épargne constituée au fur et à mesure. “La somme versée au bénéficiaire est la prime prévue lors de la signature du contrat”, tranche en effet le site du service public.