La fin de semaine et le week-end du 7 décembre seront marqués par un net refroidissement des températures et un risque de chutes de neige sur une bonne partie du pays. Voici, d'après les prévisions de La Chaîne...
Connaissez-vous la différence entre l’assurance vie et l’assurance-décès ? Ces deux contrats peuvent se ressembler beaucoup, au moins vu de loin. Pourtant, en pratique, ils sont tout sauf interchangeables, alerte le magazine spécialisé Pleine-Vie sur son site. Et pour cause : chacun de ces produits répond à des objectifs très différents. Le premier, ainsi qu’à déjà pu l’expliquer Planet, constitue l’occasion de s’enrichir et de constituer un patrimoine… Tout en réfléchissant à la transmission potentielle de ce dernier. Ce n’est pas ce à quoi sert l’assurance-décès, insistent nos confrères.
“L'assurance décès est un contrat d'assurance. Vous payez des primes à un assureur qui s'engage à verser un capital à vos bénéficiaires au moment de votre décès”, explique en effet le site du service public.
A quoi sert l’assurance-décès, au juste ?
Plusieurs différences importantes sont à noter, poursuivent les équipes de Bercy. Ainsi, dans l’essentiel des cas, “le souscripteur ne peut pas être le bénéficiaire”, ceci étant, ce dernier n’a pas besoin d’appartenir à la famille directe du souscripteur. Toutefois, nuance Pleine-Vie, il est possible d’être libéré de cette obligation si l’on survit à l’échéance du contrat. “Les primes encaissées lui restent acquises”, écrivent nos confrères à propos du souscripteur.
C’est là toute la différence - l’autre, en l'occurrence - qui importe : il n’est pas question, ici, d’épargne constituée au fur et à mesure. “La somme versée au bénéficiaire est la prime prévue lors de la signature du contrat”, tranche en effet le site du service public.