
Mail, appel ou SMS, les escrocs utilisent tous les moyens de communication pour vous soutirer de l'argent. Voici comment repérer cette nouvelle arnaque.
Le 2 mars 2025 marquait le troisième anniversaire de la mort de Jean-Pierre Pernaut. En 2022, l'ex-présentateur phare du journal télévisé de TF1 est décédé subitement à l'âge de 71 ans. L'époux de Nathalie Marquay se battait depuis plusieurs mois contre un cancer des poumons. Il s'agissait de son second cancer, lui qui avait déjà été atteint d'un cancer de la prostate en 2018.
Pour l'anniversaire de sa mort, sa veuve, la mère de ses deux derniers enfants Tom et Lou, lui a adressé un tendre message sur ses réseaux sociaux. "Déjà 3 ans sans toi, et pourtant, chaque jour tu es là. L'amour ne s'éteint jamais. Tu vis dans nos souvenirs, dans les éclats de rire de Lou et de Tom nos enfants, dans chaque battement de mon cœur. Mon amour, tu étais mon roc, mon étoile, mon éternité. Tu me manques, mais je sais que tu veilles sur nous, quelque part, avec ta voix et ton sourire que j'aimais tant", a-t-elle écrit.
Avant que la mort ne frappe le journaliste, lui et son épouse avaient décidé de déménager pour la ville d'Anthony, eux qui habitent depuis plusieurs années une maison située à Louveciennes. C'est d'ailleurs dans cette ville des Yvelines que Jean-Pierre Pernaut a été inhumé.
Dans le magazine Gala, Nathalie Marquay s'était exprimée sur le sujet. "J'ai la chance de me rendre presque tous les jours au cimetière, car il a été inhumé près de la maison et pas à Amiens comme tout le monde le pense", avait-elle raconté et d'ajouter : "Il y a vingt ans, quand on a acheté cette maison, située non loin d'une maison de retraite et d'un cimetière, on en rigolait beaucoup avec Jean-Pierre. Je lui disais : 'comme tu as 17 ans de plus que moi, je te mettrai à la maison de retraite quand tu seras en chaise roulante. Et quand tu ne seras plus là, je pourrai aller te voir tous les jours au cimetière ici' !".
Nathalie Marquay a ensuite révélé que Louveciennes était finalement un meilleur choix qu'ailleurs. "On s'est dit que ce serait plus simple pour les enfants, pour moi, de choisir Louveciennes, près de notre maison. Pour aller le voir autant de fois que nous le voulions. Il restait une seule place. Jean-Pierre l'a eue".