Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
Il ne cesse de se faire remarquer. À l'occasion de son spectacle sur la scène de l'Apollo Théâtre ce samedi 20 juin, Jean-Marie Bigard a évoqué les interrogations sur une potentielle candidature aux élections présidentielles de 2022. L'humoriste, plus engagé que jamais, a donc souhaité mettre les choses au clair. "Je ne me suis pas retiré, simplement c'est un vrai sport et donc quand tu n'en as pas fait depuis longtemps j'ai dit qu'on était mieux dans les tribunes. Mais je ne jette pas l'éponge, je suis ravi de faire peur à cette bande d'enculés". Des mots très crus, qui montrent l'état d'esprit dans lequel se trouve le comédien de 66 ans.
D'autant que l'époux de Lola Marois ne s'est pas gêné pour également donner son avis sur les actuels membres du gouvernement, comme l'actuel ministre de la Santé Olivier Véran qu'il a qualifié de "véreux". Mais ce n'est pas le seul puisque Sibeth Ndiaye, la porte-parole du gouvernement, en a aussi pris pour son grade. "Tout est dans le prénom", balance l'humoriste. Toutefois, ce ne sont pas les personnalités politiques contre lesquelles il s'est montré le plus vindicatif. Jean-Marie Bigard a surtout déversé sa haine sur Agnès Buzyn, ex-ministre de la Santé et actuelle candidate à la mairie de Paris. "Agnès Buzyn, tu as du sang sur les mains, espèce de grosse connasse !".
Il veut réunir les 500 signatures
Si l'humoriste n'éprouve que peu de bonnes choses à l'égard des politiques, il s'est montré plus déterminé que jamais à se présenter aux élections présidentielles. "Je vais prendre mon téléphone et demander aux maires les 500 signatures. Imagine si je les ai avant tout le monde ? Là je vais vraiment leur faire peur", a déclaré Jean-Marie Bigard en présentant brièvement quelques points de son programme. Il a l'intention entre autres de rouvrir des maisons closes, ainsi que de restaurer le droit de goutte qui permet d'élaborer sa propre eau-de-vie.