De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Un drame qui reste marqué à vie sur la peau. Ilham Khallad, une jeune femme de 28 ans élue Miss Maroc 2017 et Miss Afrique Midi-Pyrénées 2019, a récemment vécu une terrible mésaventure à la suite d’une visite chez un kinésithérapeute exerçant à Toulouse.
Décidée à briser le silence, l’ancienne reine de beauté s’est confiée dans les colonnes du Parisien ce 18 décembre où elle raconte avoir été brûlée à l’abdomen après un traitement de cryothérapie. Pourtant ce n’était pas la première fois qu’elle confiait son corps aux mains du praticien pour soigner un mal de dos en 2018. "J'ai cherché un kiné proche de chez moi sur Internet. Pour le dos, il n'y avait pas de problème", explique celle qui réside dans la ville rose.
Une machine amincissante qui lui aurait arraché la peau
Ce n’est que l’année suivante, le 19 juin 2019 comme elle le précise à nos confrères, que les choses se compliquent avec le kiné. "Un an plus tard, il m'a présenté une machine qui amincit le ventre. C'était 200 euros la séance. La première s'est bien passée. Mais à la deuxième, il m'a laissée seule 45 minutes pour s'occuper d'un autre patient dans la salle d'à côté. Quand il est revenu m'enlever la machine, il m'a arraché la peau avec", affirme l'ex-Miss.
Bilan de cette mauvaise expérience : elle rentre avec le ventre rouge et brûlant à son domicile, n’ayant pour seul conseil du praticien que d’appliquer de la Biafine. Après une nuit de souffrance et une perte de connaissance chez une styliste, la mannequin est transportée aux urgences où on lui diagnostique une "brûlure au premier degré sur 10 cm, et au second degré sur un centimètre". Un cauchemar pour la pauvre Miss. "Pendant ces dix jours, j'avais de la fièvre, des diarrhées et du mal à marcher", avoue-t-elle en détaillant ses symptômes et se plaignant de ne plus pouvoir s'exposer au soleil.
Une mésaventure qui a brisé sa carrière de mannequin. D’après nos confrères, Ilham Khallad a décidé de porter plainte le 26 novembre dernier pour "blessures involontaires". "J'ai envie d'en parler parce qu'il y a peut-être d'autres victimes", confie-t-elle. Face à cette attaque, le kinésithérapeute Gérard K se défend de toute erreur. "Je traite beaucoup de gens, je n’ai aucune insatisfaction, mes machines sont aux normes", assure-t-il en ajoutant qu’il n’a jamais rencontré la jeune femme. Pourtant un appel enregistré en 2019, consulté par nos confrères, prouve qu’il était au courant du problème rencontré par sa plaignante.