Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Depuis le début de la guerre en Ukraine, la France affiche un fort soutien à l’Ukraine et au président Volodymyr Zelenski. Dernièrement, Paris a même pris la décision d’envoyer des blindés à Kiev. Face à cela, le ressentiment russe envers la France grandit et les propos sont de plus en plus forts.
"La France ne devrait pas exister", pouvait-on notamment entendre sur l’émission du propagandiste russe Vladimir Soloviev, diffusée sur la chaîne publique Rossiya-1 dans le début de la semaine du 9 janvier. Ce dernier proposait même, en réponse à l’envoi des chars, des "frappes préventives" contre la France.
De son côté, l’ancien général de l’armée russe désormais député de la Douma, Andrey Gurulyov, déclarait, lors de la même émission "La France existait, et maintenant elle n’existe plus, est-ce que ça dérangerait qui que ce soit ? Si on frappe la France une fois, ce sera la fin de tout ça". Des propos inquiétants auxquels le porte-parole de l’ambassade de Russie en France, Alexandre Makogonov, a récemment répondu sur BFMTV.
"N’ayez aucune crainte", assure le porte-parole de l’ambassade de Russie en France
"Il s’agit d’un show télévisé, comme à la télévision française, où les experts sont libres de s’exprimer sur des sujets qui les inquiètent, qui les touchent", a-t-il ainsi expliqué avant de déclarer "Ici, devant vous, sur ce plateau, je peux vous rassurer vous ainsi que vos spectateurs. N’ayez aucune crainte". Des propos rassurants après ceux entendus sur les plateaux russes.
Selon lui, ces propos polémiques étaient surtout "émotionnels". Mais il a tout de même contre-attaqué en déclarant "Je me souviens aussi des premières antennes de la télévision française, lors du début de ce conflit, lorsque sur les plateaux, ouvertement, devant le public, vos experts parlaient de la meilleure façon d’assassiner Poutine. C’est normal à votre avis ?"