La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
premier enregistrement vidéo avait été diffusé le 26 février, seule une version sonore a été diffusée cette fois-ci. On peut y entendre le père de la famille des sept Français enlevés au Cameroun lire un communiqué du groupe Boko Haram. Celui qui a été identifié comme Tanguy Moulin-Fournier selon l'AFP, évoque les conditions de détention particulièrement difficiles dans lesquelles lui et sa famille se trouvent : "nous sommes détenus depuis 25 jours dans un endroit désertique. Nos conditions de vie sont très dures, notamment pour les enfants. Nous perdons nos forces chaque jour et commençons à être malades. Nous ne tiendrons pas longtemps".
La situation se dégrade pour les otages français enlevés au Cameroun. Alors qu'un
L'otage rappelle également les exigences de ses ravisseurs, des membres de la secte islamiste Boko-Haram, qui exigent la libération de partisans au Cameroun et au Nigeria. Pour ce faire il exhorte l'ambassadeur de France à "tout mettre en œuvre pour qu’une solution soit trouvée". De même, le président du Cameroun, Paul Biya, est interpellé : " ils nous libérerons si vous libérez les hommes qui ont été arrêtés au Cameroun" poursuit-il. Le communiqué se termine par une menace " Boko Haram ne veut pas entrer en conflit avec le Cameroun, mais si vous arrêtez à nouveau leurs membres, ils multiplieront les enlèvements et les opérations suicides avec plus de vigueur qu’au Nigeria".
Voici la vidéo du premier enregistrement des otages français.