La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Tout dépendra maintenant de l’Assemblée nationale. Depuis sa réélection - et potentiellement même avant, puisqu’il s’agissait déjà d’un sujet qui lui tenait à cœur ! -, le président travaille avec son exécutif à l’élaboration d’un nouveau projet pour le pouvoir d’achat. Il s’agit en effet de préserver les bas-de-laine des Françaises et des Français, très largement rongés par le phénomène d’inflation que l’on observe aujourd’hui sur l’intégralité du territoire de l’Hexagone. D’aucuns, dans le secteur de la grande distribution, craignent une inflation potentielle entre 7 et 10% dans les semaines et les mois à venir, comme a pu l’expliquer Planet.
Mais comment Emmanuel Macron entend-il lutter contre une telle situation ? Il envisage un panel de mesures précises qui devraient être égrenées avec précisions au moment du vote du projet de loi dit “pouvoir d’achat”, informe France Info sur son site. Il va d’ailleurs falloir se montrer relativement patient : celui-ci ne sera pas présenté en conseil des ministres avant le mercredi 6 juillet… et ne sera examiné par l’Assemblée nationale qu’ensuite. De plus, compte tenu de la composition du palais bourbon, il est possible que certains des éléments du texte soient revus, sinon complètement oubliés.
Revalorisations : seront-elles rétroactives ?
Dès lors, à quelles revalorisations faut-il éventuellement s’attendre pour cet été ? Plus d’informations à ce propos dans notre diaporama, que vous retrouverez en conclusion de ce site.
Certaines prestations revalorisées devraient d’ailleurs bénéficier d’u ne forme de rétroactivité au 1er juillet, indiquent encore nos confrères. Cela signifie qu’une entrée en vigueur du texte, tel que souhaité par le gouvernement, permettrait aux bénéficiaires de toucher un rappel relatif aux montants qu’ils auraient théoriquement dû percevoir dès le mois prochain et non seulement au moment de l’éventuel vote par le Parlement.