De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Le mois de mai 2016 va décevoir de nombreux salariés : sur les quatre jours fériés prévus dans le mois, deux tombent un dimanche. Mais comment cela fonctionne-t-il pour la rémunération ? Pour en savoir plus, le site du gouvernement Service-public.fr apporte quelques précisions.
Le 1er mai
"Seul le 1er mai est obligatoirement chômé, c'est-à-dire non travaillé. Le travail n'est autorisé ce jour-là que dans les secteurs qui ne peuvent pas interrompre leur activité (santé, sécurité, transports...)", précise Service-public.fr. Mais celui reste payé même pour ceux qui ne travaillent pas.
Et si le salarié travaille le 1er mai, comme c’est le cas pour certaines professions, cette journée sera majorée de 100%, selon les conventions collectives existantes dans l’entreprise.
Les autres jours fériés
Pour les autres jours fériés tombant sur un jour de repos, comme c’est le cas cette année pour le 8 mai, aucune indemnité particulière n’est prévue. Toutefois, "lorsqu'un jour férié tombe un dimanche, certaines conventions collectives prévoient l'attribution d'un jour de congé supplémentaire", explique toutefois le site du gouvernement.
Le 16 mai, journée de solidarité
La journée de solidarité (instituée en 2004) est quant à elle le 16 mai, qui correspond au lundi de Pentecôte. Celle-ci est travaillée mais non rémunérée s’il n’y a pas d’accord collectif sur ce point dans votre entreprise. Cette journée de solidarité peut néanmoins être fixée pendant un autre jour férié, ou alors pendant un RTT.
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