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Etabli par un collège de sept économistes européens, ce palmarès se base sur la « capacité politique », les « performances économiques » et la « crédibilité sur les marchés ». Le grand vainqueur est Wolfgang Schäuble, le ministre des Finances allemand, qui monte ainsi pour la deuxième fois en trois ans sur la première marche du podium. Suivent le suédois Anders Borg et le polonais Jacek Rostowski.
Classé seizième donc, Pierre Moscovici fait moins bien que François Baroin l’an dernier, qui avait obtenu la quinzième place, et Christine Lagarde, douzième en 2007. Installé à Bercy depuis six mois seulement, le ministre français des Finances n’a pas encore vraiment eu le temps de faire ses preuves, mais pêche apparemment par ses réformes jugées trop timides, une politique dite « populiste » ou encore une attitude trop virulente envers les milieux d’affaires. A noter aussi, la dégringolade de George Osborne, le ministre britannique, qui passe de la troisième place à la quinzième place. A l’inverse, l’italien Vittorio Grilli fait une spectaculaire remontée, passant de la dix-huitième place l’an dernier à la dixième place. Tous les espoirs sont donc permis pour Pierre Moscovici !