Paul G., 31 ans est accusé d’avoir violé Gisèle Pelicot en 2016. Il a reconnu les faits dans leur totalité ce vendredi 8 novembre, avant de faire part à la cour de son souhait de devenir pasteur.
Un prénom en guise de nom de famille, ça n’est pas rare. Les patronymes les plus fréquents en France sont souvent des prénoms et vous avez sûrement déjà croisé la route d’un Martin, d’un Bernard, d’un Thomas ou d’un Richard. Ce qui est plus étonnant, par contre, c’est que de nombreux tueurs en série semblent porter un prénom en guise de nom de famille : on pense par exemple à Guy Georges, Patrick Henri ou encore Emile Louis. Faut-il voir un lien entre ces différents hommes ? S’agit-il simplement d’un hasard ou y a-t-il une explication plus profonde ?
La « malédiction » du double prénom ?
On pensait que ces questions resteraient sans réponse, mais une explication vient d’être donnée.
Interrogé à ce sujet dans l’émission Quotidien, le journaliste Christophe Hondelatte – grand spécialiste des faits divers – a donné sa réponse. Auprès de Yann Barthès et son équipe, il a précisé que « c’est un sujet pas drôle », car « la plupart de ces gens-là sont des enfants de la DDASS… Et ont donc été appelés en général par leur deuxième prénom ». Celui qui anime Hondelatte raconte sur Europe 1 a ensuite pris l’exemple de
Il n’y a bien sûr aucun lien à tirer entre un patronyme et le passage à l’acte, puisque de nombreux tueurs ont des noms de famille qui ne sont pas un prénom. Sur Internet, de nombreux internautes qui se posent la question depuis longtemps vont même jusqu’à évoquer la « malédiction » du double prénom…