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Ce rapport peut tout changer. Mais pas question de tirer des conclusions hâtives. Il y a six mois, une randonneuse découvrait le crâne du petit Émile et plusieurs de ses vêtements à moins de deux kilomètres du Haut-Vernet où l’enfant avait disparu le 8 juillet 2023.
Une première série d’expertises avaient été menées par l'IRCGN, l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie, avant des analyses complémentaires confiées au laboratoire spécialisé du professeur Doutremepuich à Bordeaux. Le professeur a remis ses conclusions aux magistrats instructeurs la semaine dernière selon les informations de RTL.
Toutes les pistes restent ouvertes
Ces recherches complémentaires se concentraient à la fois sur les traces ADN éventuelles présentes sur les vêtements, sur le crâne et les autres ossements retrouvées par les gendarmes. Le professeur s’est déplacé en personne dans les Bouches-du-Rhône ce lundi 23 septembre pour remettre son rapport dans les mains des magistrats. Son entourage se dit "très satisfait du travail réalisé ces dernières semaines".
Ce rapport définitif est un élément déterminant pour orienter de nouveau les investigations dans une direction précise. Il permettra notamment d’aiguiller les gendarmes de la Section de recherches (SR) de Marseille qui poursuivent quotidiennement l’enquête au sein d’une cellule spéciale baptisée "cellule Émile".
Le contenu du rapport n’a pas été rendu public à ce stade, mais plusieurs sources proches du dossier ont récemment déclaré à RTL que toutes les pistes restent ouvertes.