
Quatre mois après le verdict du procès des viols de Mazan, l’ancienne maison de Dominique et Gisèle Pelicot laisse une cicatrice dans le cœur des habitants due ce village du Vaucluse.
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Publié par Eléonore Bounhiol
C’était le 26 avril 2007. Gaëlle Fosset, 22 ans, était tuée de 66 coups de couteau à son domicile de Saint-Germain-la-Campagne, dans l’Eure. Depuis, c’est un combat de chaque instant pour ses parents. Car à ce jour, l’affaire n’a toujours pas été élucidée et personne n’a été jugé pour ce terrible meurtre.
De pistes en pistes, de suspects en suspects, 600 personnes ont été interrogées et six juges d’instructions se sont succédés depuis 2007 pour tenter de retrouver le responsable de cet acte barbare.
Récemment, la famille et la procureur d’Evreux ont même participé à l’émission « Appel à témoins » sur M6, dans l’espoir de faire avancer les choses. Les gendarmes auraient recueilli, grâce au programme, plusieurs témoignages intéressants. En juillet 2021, une amie de Gaëlle était placée en garde à vue. Elle n’a toutefois pas été mise en examen.
Entre décembre 1980 et août 1983, quatre femmes sont retrouvées mortes aux alentours de la nationale 20, dans la région d’Etampes (Essonne).
Christine Duvauchelle, concierge de 26 ans ; Michèle Couturat, une jeune toxicomane de 17 ans ; Sylvie Le Helloco, une serveuse de 20 ans, et Pascale Lecam, une étudiante de 21 ans, ont été tuées et dénudées. Pascale a été torturée avec un tournevis, étranglée et le crâne fracassé à coups de pierre. Les jeunes femmes n’ont pas été violées.
Les enquêteurs se mettent sur la piste d’un tueur en série, qu’on surnomme alors « l’étrangleur d’Etampes », « le tueur de blondes » ou « le sadique de la N20 ». Mais les années passent, et aucun suspect n’est interpellé.
En 2008, les experts parviennent à isoler une trace d’ADN sur un mouchoir jetable retrouvé près d’un des corps. Mais l’empreinte n’est pas totalement reconstituée. Michel Fourniret est un temps suspecté. Mais aucune preuve ne permet de permet de le mettre en cause formellement.
A ce jour, les quatre meurtres demeurent non élucidés.
Le 24 septembre 1995, Tatiana Andujar, 17 ans, rentre en train d’un week-end à Toulouse. Arrivée à la gare de Perpignan, elle passe un coup de fil à sa mère depuis une cabine téléphonique, pour la prévenir qu’elle arrive. Elle monte ensuite dans une voiture, direction la maison. Mais elle ne rentrera jamais. Et son corps ne sera jamais retrouvé.
Depuis ce jour funeste, Marie-Josée Garcia, sa maman, se bat pour connaitre la vérité. Un temps, les enquêteurs rapprochent la disparition de Tatiana des meurtres de la gare de Perpignan, attribués plus tard à Jacques Rançon et à Marc Delpech. Mais les deux tueurs ne seront jamais poursuivis pour la disparition de Tatiana.
Le 27 juin 1987, Sabine Dumont, 9 ans, est retrouvée sans vie le long de la N118. Son corps, nu, est en partie carbonisé. Elle était partie s’acheter un tube de peinture dans une boutique non loin de chez elle, à Bièvres (Essonne).
Mais l’enquête va peiner à identifier un coupable. Pendant des années, les policiers se heurtent à un mur. Un rapprochement est fait avec les meurtres de Virginie Delmas ou de Perrine Vigneron, qui demeurent également non élucidées, et on pense un temps qu’un tueur en série pédophile sévit dans la région.
En 1994, les parents de Sabine, désespérés, participent à l’émission « Témoin numéro 1 » sur TF1. Mais toujours rien. Récemment, de nouvelles analyses ADN auraient été réalisées, et un témoignage inédit aurait été reçu par les enquêteurs après la diffusion d’un reportage sur l’affaire dans l’émission de France 2 « Non élucidé ».
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