De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
C’est un fait : les hommes tuent, en moyenne plus que les femmes. D’après TV5 Mond e, ils commettent 9 crimes sur 10, et représentent plus de 90% de la population carcérale.
Mais si elles sont souvent plus « discrètes », les femmes tueuses n’en sont pas moins cruelles. Dans l’histoire, on trouve même quelques glaçants profils de « serial killeuses », des femmes dont les crimes n’ont rien à envier aux pires tueurs en série masculins. Dans notre diaporama, découvrez les profils glaçants de 8 d’entre elles.
Et si, traditionnellement, on associe le poison au crime féminin, les femmes seraient de plus en plus enclines à utiliser des méthodes « masculines », exécutant leur entreprise criminelle avec des armes à feu ou des objets contondants… Et surtout, un sang-froid implacable.
Les crimes de femmes les plus courants
En général toutefois, les femmes « tuent différemment », selon les experts. On peut ainsi classifier leurs mobiles de la sorte :
- Les infanticides : parce que la mère craque, est victime d’un déni de grossesse, souhaite se venger (le syndrome de Médée) ou encore souffre d’une grande fragilité psychologique et émotionnelle
- Les anges de la mort : les soignantes qui tuent des personnes dont elles s’occupent
- Les veuves noires : lorsque les femmes tuent leur mari ou leur conjoint, souvent pour des raisons financières
- Les psychopathes, dont les actes ne trouvent aucune explication rationnelle
- Les criminelles politiques et les terroristes, qui agissent au sein d’un mouvement
Il existe aussi des femmes qui passent, en l'espace de quelques secondes, du côté des victimes à celui des accusées.
Ce fut le cas, ces dernières années, de Jacqueline Sauvage, Alexandra Lange ou encore Valérie Bacot. Ces femmes, après avoir subi des violences conjugales en silence pendant de longues années, ont fini par tuer leur conjoint, dans un ultime acte de légitime défense.
En France, elles sont chaque année une dizaine à donner la mort à leur conjoint violent.
Pourtant, seules trois femmes (Florianne Harelle, Adriana Sampaïo et Alexandra Lange) ont à ce jour été acquittées par la justice au nom de la légitime défense.
Les autres ont été condamnées et certaines se trouvent encore derrière les barreaux.