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© The Sun/News Licensing / ABACAabacapressDans le cadre de l'enquête sur la disparition de Maddie McCann, survenue en 2007, de nouvelles fouilles ont lieu. La police a relancé les recherches près d'un barrage au Portugal. Le dénouement de cette affaire est-il proche ?
Alors qu’elle se trouvait en vacances avec ses parents, son frère et sa sœur, Madeleine McCann disparaît le 3 mai 2007 à Praia da Luz, au Portugal. Cela fait désormais 16 ans que sa famille est en quête de réponse afin de savoir ce qui a bien pu arriver à la petite fille âgée de 3 ans au moment des faits. Même si un suspect est mis en cause, les enquêteurs manquent de preuve pour l’inculper.
Néanmoins, de nouvelles recherches sont actuellement en cours au Portugal. À l’aide de moyens conséquents et à la demande des autorités allemandes, la police portugaise mène ces fouilles près d’un barrage, non loin de l’Algarve, situé à une cinquantaine de kilomètres du lieu où a disparu "Maddie", peu avant son quatrième anniversaire.
Pourquoi les recherches reprennent-elles ?
L’année passée, le ministère portugais avait décidé d’inculper un nouveau suspect dans le cadre de cette affaire. Le mis en cause est Christian Brueckner, un Allemand déjà condamné pour de nombreux actes de pédophilies. Ce dernier aurait vécu plusieurs années en Algarve et se rendait fréquemment près du fameux barrage, comme le rapporte BFMTV.
D’après le Mirror, la police allemande a fouillé son domicile et a découvert des documents compromettants qui pourraient être la clé de cette énigme. En effet, les enquêteurs présents dans le repaire secret du suspect auraient retrouvé des photos et des vidéos sur lesquelles le barrage d’Arade figure. Autre élément important concernant ces recherches, le multirécidiviste considérait cet endroit comme "son petit paradis".
Vidéo du jour
Avant cette avancée, l’enquête n’a pas connu de réelle évolution depuis 2020, lorsque le parquet allemand a dit avoir la certitude que la fillette était morte et que le principal suspect était derrière les barreaux. Les fouilles se poursuivent donc pour six jours supplémentaires, dans l’espoir de repérer de nouveaux indices, pour ainsi sceller le sort de cette affaire et permettre à la famille de tenter de faire leur deuil, 16 ans après.
