De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La disparition de Delphine Jubillar demeure un mystère. Rappelez-vous : la nuit du 15 au 16 décembre 2020, une infirmière de Cagnac-les-Mines (Tarn) se volatilise sans laisser la moindre trace. Mère de famille très attachée à ses deux enfants, presque divorcée, sur le point de commencer une nouvelle vie avec un nouvel amoureux... Rien ne laisse présager que la trentenaire souhaitait tout quitter. Très vite, les enquêteurs ont délaissé l'hypothèse d'un départ volontaire au profit de la piste criminelle. Le vendredi 18 juin, son mari Cédric a été placé en détention et mis en examen pour "homicide volontaire sur conjoint".
Un témoignage à prendre avec précaution
Selon une information du Nouveau Détective datant de janvier 2021, une voisine du couple Jubillar aurait aperçu la mère de famille dans la rue la nuit de sa disparition. La témoin en question affirme avoir vu Delphine "entre 2 et 4 heures du matin". À noter néanmoins que cette déclaration est à prendre avec précaution. Selon le média, "Les enquêteurs ont toutefois déterminé que ce témoignage n’était pas fiable. Car pendant le premier confinement, cette femme de 84 ans a passé son temps à téléphoner à la mairie et aux gendarmes dans le but de dénoncer les personnes bravant l’interdiction de sortir de chez eux", peut-on lire. Un comportement qui a été décrit comme "pathologique".
Ce n'est pas le seul témoignage qui vient troubler l'enquête. Comme le rappelle Femme Actuelle, nous connaissons également le témoignage d'un chauffeur de taxi qui affirme avoir vu "une femme marcher seule sur le bas-côté de la route, avec une tenue vestimentaire qui pourrait correspondre à celle que portait Delphine ce soir-là" vers 6 heures du matin.