De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Une course contre la montre. Les enquêteurs mobilisés depuis plus de neuf mois sur l'affaire Delphine Jubillar poursuivent leurs investigations et tentent désormais de retrouver le corps de la disparue, qui s'est volatilisée dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Selon La Dépêche du Midi, de nouvelles recherches ont été menées à Cagnac-les-Mines (Tarn) par des gendarmes spécialistes de la spéléologie, mais elles n'ont rien donné pour l'heure.
Un bâtiment de 7 étages "seulement connu des habitants du secteur" ?
D'après le quotidien local, les recherches infructueuses ont été élargies à un périmètre plus grand autour du domicile du couple Jubillar : "Les explorations menées s'étant avérées infructueuses, les enquêteurs ont souhaité ouvrir de nouvelles pistes concernant des lieux, un peu plus excentrés mais toujours dans un secteur autorisant de se projeter rapidement en pleine nuit et permettant de dissimuler un corps ou des indices". Un endroit en particulier, qui n'a pas encore été exploré, serait au centre des nouvelles recherches : l'ancien lavoir à charbon de Blaye-les-Mines, à moins de huit minutes en voiture du centre de Cagnac-les-Mines.
Fermé dans les années 1990, le site industriel est aujourd'hui à l'abandon et très difficile d'accès, selon La Dépêche. Il s'agit d'un bâtiment de 7 étages, en béton et poutre métallique, perdu au milieu d'une forêt, "entre cavités, trous béants, amoncellement de pierres et détritus". Le quotidien local, qui s'est rendu sur place, explique qu'on ne peut s'y rendre que par "un petit chemin, seulement connu des habitants du secteur". Le site, dont des escaliers sont manquants et dont la structure est très fragile, est particulièrement dangereux pour ceux qui s'y aventurent.