La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Elle est de plus en plus difficile à trouver dans les rayons du supermarché : l’huile de tournesol. Depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, premier exportateur mondial, cette matière grasse se raréfie. Si bien que certains industriels peinent à produire les recettes qui nécessitent une importante quantité d’or jaune, les poussant à remplacer l’huile de tournesol par d’autres alternativesvégétales, comme le colza.
Seulement voilà : modifier les emballages de tous les produits pour signaler ce changement de recette a un coût financier et logistique. Si bien que le ministère de l’Économie a autorisé les fabricants à changer la composition de leurs spécialités en conservant la même étiquette, nous apprend Le Parisien. De son côté, le magazine Capital indique que plus de 3000 produits ont changé de composition depuis le 26 avril 2022. Quels sont les aliments principalement concernés par ce changement de recette ? Découvrez-les dans notre diaporama ci-dessous.
Les industriels ont deux mois pour signaler un changement de recettes
Attention toutefois : les fabricants qui demanderont cette dérogation auront six mois pour remplacer leur emballage et indiquer le remplacement de l’huile de tournesol dans la composition. Par ailleurs, ils seront tenus, avant deux mois, de “signaler sur l’emballage qu’un changement de recettes a eu lieu sans préciser nécessairement lequel”, précise le quotidien francilien.
Dans certains cas néanmoins, le signalement du changement de recette doit être immédiat. Sont concernés les ajouts de produits allergènes, ou encore les modifications qui compromettent les promesses faites sur l’emballage : produits issus de l'agriculture biologique, garantis sans huile de palme…
La majorité des produits concernés par ces changements de recette contiennent désormais de l'huile de colza. A noter : comme le souligne Capital, certains aliments comme l'huile de coco, de palme ou de soja sont susceptibles de faire baisser les valeurs nutritionnelles ou écologiques des produits.