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Le monde de la restauration change ! Cela fait quelques semaines désormais que, guillerets, vous avez pu retrouver le chemin de votre table préférée. Certains d’entre vous ont peut-être même eu du mal à finir leurs plats… et c’est précisément à eux que s’adresse le législateur aujourd’hui, fait savoir Le Figaro. Depuis le jeudi 1er Juillet 2021, ils peuvent légitimement demander à emporter les restes de l’assiette qu’ils n’ont su terminer. On parle alors de "doggy-bag", précisent nos confrères, du nom de la pratique anglo-saxonne ayant inspiré cette loi.
Rien de bien neuf sous le soleil, prétendront certains. Et pour cause ! Certaines tables proposaient déjà à leurs clients de repartir avec la fin du repas qu’ils n’ont guère su ingurgiter. Ce genre d’attitude était très largement encouragé, à des fins de lutte contre le gaspillage. Dorénavant, néanmoins, la recommandation cesse d’en être une et devient une obligation ! Aussi n’hésitez pas à demander, le cas échéant.
Doggy-bags et restauration : pourquoi a-t-il fallu les rendre obligatoires ?
Cette évolution législative n’a rien d’anodin, insiste Le Figaro. Elle vient répondre à la faible implantation du "doggy-bag" en France et vise à minimiser le gâchis de nourriture propre à la consommation. Il est plus qu’important dans le secteur de la restauration.
Si la pratique peine à prendre racine dans l’Hexagone, c’est parce qu’elle ne correspond pas particulièrement aux habitudes françaises ; tant du point de vue du client que de celui du restaurateur. Rares sont les consommateurs à oser formuler la demande, par crainte de sembler pingre ou tout simplement car ils s’inquiètent de l’hygiène d’une telle opération. En outre, il est rare que les chefs composent des plats assez opulents pour nécessiter un sac de restes...