Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Un nouveau dispositif pourrait bien s’inviter dans l’habitacle de votre véhicule. Ou, à tout le moins, dans sa structure globale. Il s’agit de la petite sœur de la fameuse "boîte noire” incorporée à tous les avions de ligne. L’appareil, explique le portail Actu.fr sur son site, vise à permettre une meilleure compréhension des accidents et des sinistres. A compter de 2024, chaque bolide commercialisé devra impérativement en être équipée, conformément à la décision adoptée à la majorité par le Parlement européen en avril 2019.
En théorie, l’appareil devrait être invisible pour le conducteur et ses passagers. Cependant, cela ne l’empêchera pas d’enregistrer un certain nombre d’informations pertinentes et utiles à l’analyse de l’accident. Mais comment fonctionne un tel boîtier ?
Boite noire dans la voiture : quel mode de fonctionnement ?
En pratique, la “boite noire” n’enregistre aucune information relative aux individus dans l’habitacle. Elle n’écoute d’ailleurs pas ce qui peut s’y dire et ne voit pas ce qui s’y déroule. L’appareil se concentre exclusivement sur l’état et les indicateurs de bon fonctionnement du véhicule auquel il a été apposé.
“Les données que les enregistreurs sont capables d’enregistrer et de mémoriser en ce qui concerne l’intervalle de temps peu avant, pendant et immédiatement après une collision comprennent la vitesse du véhicule, le freinage, la position et l’inclinaison du véhicule sur la route, l’état et le taux d’activation de tous ses systèmes de sécurité”, peut-on d’ailleurs lire sur le règlement européen.
Malheureusement, poursuivent nos confrères, un certain nombre de critiques ont été soulevées quant à l’efficacité du processus. Certains pointent du doigt le prix quand d’autres évoquent la nécessité d’aller plus loin encore.