La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
S’ils sont encore peu nombreux à connaître le contenu de la loi Hamon sur la question des assurances, ceux qui en ont désormais prix connaissance sont de plus en plus en plus nombreux à vouloir aller voir ailleurs, selon une étude réalisée par le cabinet de conseil Oliver Wiman, révélée dimanche par Les Echos.
Dans le détail, 33% des personnes sachant qu’il est plus facile aujourd’hui de quitter son assureur pourraient prochainement franchir le cap pour leur assurance auto, et 27% pour leur assurance habitation.
Le prix, premier motif de résiliation
Cela s’explique en effet par la mise en place de la loi Hamon, qui permet désormais de quitter son assureur beaucoup plus facilement qu’avant. L'assuré peut en effet quitter son assureur sans préavis après 12 mois d'ancienneté.
"80% des clients interrogés estiment que le prix serait le premier motif d'une éventuelle résiliation, a fortiori pour des clients déjà habitués à souscrire un contrat sur le net, les moins de 35 ans, ou les CSP+, ou ceux ayant un attachement moindre à leur compagnie d'assurances n'étant que récemment client", précise Le Figaro.
Le taux de résiliation moyen pour les assurances auto/habitation, qui est de 15% environ par an, pourrait quant à lui grimper à 16% ou 17%
Toutefois, seuls 28% des 4000 sondés connaissent la signification de la loi Hamon. Ces chiffres pourraient alors largement augmenter avec plus d’informations sur les changements relatifs aux assureurs.
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