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L’affaire Maëlys de Araujo a connu un tournant mercredi avec les aveux de Nordahl Lelandais et la découverte de restes humains : un os et un crâne, dans les Gorges de Chailles, non loin du village de Saint Franc. Lors de la conférence de presse donnée par le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat, en fin d’après-midi, ce dernier a confirmé que les ossements étaient bien ceux de Maëlys. Ils seront soumis à des analyses.
Les recherches menées dans des conditions difficiles avec des chiens renifleurs ont été interrompues à 20 heures et ont repris ce matin dans les environs d’Attignat-Oncin, annonce BFM, le corps de la fillette étant incomplet. Ce jeudi matin de nouveaux restes étaient d’ailleurs "en cours d’exhumation", indique Le Dauphiné. La zone est quadrillée par les autorités afin de protéger tous les éventuels indices.
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Analyses et précisions à venir
Comme l’a souligné la gendarmerie via son porte-parole, "il faut pouvoir reconstituer le corps", ne serait-ce que pour permettre aux gendarmes de mieux comprendre ce qu’il s’est passé la nuit du drame, et notamment savoir si la fillette a subi des violences. Mercredi, Nordahl Lelandais refusait d’en dire plus sur les circonstances du drame, "souhaitant d’abord que le corps de Maëlys soit retrouvé" et assurant l’avoir tué "involontairement".
L'ex-militaire sera de nouveau entendu par les juges très prochainement. Mis en examen pour meurtre, il risque la réclusion criminelle à perpétuité.